le déni d’orgasme et son contrôle

Petit lexique à l’égard des non initiés :

Le contrôle de l’orgasme, souvent appelé par son anglicisme « edging » est une technique sexuelle qui consiste à amener son ou sa partenaire au bord (« edge » en anglais) de l’orgasme et maintenir cet état d’excitation et de plaisir sexuels très élevés (phase préorgasmique) pendant une longue période avant de lui faire atteindre l’orgasme dont l’intensité et la durée se trouvent également amplifiées.

Utile dans les rapports pour faire durer son érection mais pas que …

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Le Déni d’orgasme, ou privation d’orgasme, fréquemment nommé Tease and denial (T&D), est une expression utilisée pour toute technique de stimulation sexuelle d’un individu (généralement masculin) pour provoquer un intense désir, mais sans aller jusqu’à l’orgasme. Le T&D est généralement pratiqué pour provoquer du plaisir auprès de la personne ainsi stimulée, en l’amenant (une ou plusieurs) fois à la limite de l’orgasme, sans aller jusqu’à son accomplissement ; il en résulte un sentiment puissant de frustration sexuelle, et une excitation supplémentaire d’une durée variable.

Cette pratique peut aussi concerner les femmes, il y a des vidéos de ce type qui pullulent sur Pornhub par exemple.

C’est une pratique masturbatoire intensive, pouvant atteindre une quinzaine d’heures journalières, et ce sur plusieurs jours, voire semaines en se retenant d’aller à l’orgasme ou l’éjaculation.

L’orgasme est atteint sous certaines conditions, après avoir ressenti une désinhibition des interdits, activant ainsi le passage à l’acte du fantasme à réaliser, sans ressentir aucune gêne, mais au contraire un plaisir intense.

Source : Wikipédia

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Je voulais vous parler de mon expérience de soumis et de dominant. Je préfère donner le moins de détails possibles sur mon identité. J’appelle régulièrement les hôtesses du site sur le réseau et en privé, il m’arrive de m’exhiber sur Dovisio. J’ai toujours voulu ressentir des sensations plus intenses dans le sexe, j’ai testé pas mal de choses, je me suis mis des pinces sur les tétons, les testicules, de la cire plus ou moins chaude, je me suis fait prendre au gode ceinture par des dominas pros, fister aussi mais ce n’était jamais assez. Un jour, l’une d’entre elles m’a parlé du déni d’orgasme. Elle a su trouver les conditions très particulières qui allaient m’exciter au plus haut point. Elle a su cerner mes désirs. Une vraie psychologue. Nous avons essayé avec ou sans cage. J’ai préféré sans. C’est tout un défi, de se masturber sans jouir quand j’en ai l’autorisation, il a fallu que je m’entraîne mentalement et physiquement à me retenir, je suis donc arrivé à contrôler mon orgasme. Cette frustration m’a fait entrevoir ce qu’était le réel plaisir. L’attente, la montée du désir sans résolution. Une satisfaction cérébrale mais aussi physique. Devoir obéir aussi est devenu est une varie drogue pour moi. Laisser le contrôle de sa jouissance à une autre personne est libérateur. Se masturber quand on le veut, faire ça vite, éjaculer est d’une telle tristesse. Mon orgasme est intense, divin et je le mérite, je l’offre à ma maîtresse. Elle peut m’imposer des périodes de chasteté forcée sur de longues périodes. C’est selon ses désirs, mais le maximum que j’ai pu faire, c’est tenir 15 jours. C’est déjà énorme, terrible, mais si bon. Le sperme sort épais, l’orgasme est quasiment douloureux, je pousse un cri de soulagement, d’extase et tout mon corps est remué, cela vient par vagues successives. Ma maîtresse  fait boire leur semence à certains soumis mais ce n’est pas mon truc. Rien à voir avec une branlette journalière. Fade. Ni même avec un rapport plus conventionnel. Quoique, je m’en satisfais encore, d’ailleurs, j’ai appris grâce à cette nouvelle pratique, à prendre le temps de contenter mes partenaires féminines. Je n’éjacule pas aussi vite et je m’attarde sur les préliminaires. Afin de faire monter leur excitation et de les mettre dans la même situation dans laquelle je prends mon pied. C’est moi qui soumets cette fois-ci. Parfois, je ne les fais pas jouir, elles doivent attendre et je peux vous dire que quand elles explosent, c’est quelque chose. Titiller toutes leurs zones érogènes, jusqu’ à ce qu’elles soient trempées et les laisser mariner. J’aime être multiple, changer les rôles. Ensuite, je peux aussi les faire jouir jusqu’à l’épuisement avec un vibromasseur. Autre forme de domination.

1 réaction sur “ le déni d’orgasme et son contrôle ”

  1. Christian Réponse

    Voici un texte qui me parle. C’est quelque chose que j’ai connu dans les deux sens …D’abord en soumis et ensuite en dominateur …Et oui bien que les hôtesses qui m’ont eu ici me connaissent en tant que soumis il m’est arriver de dominer pour faire plaisir à la partenaire dans une relation switch. En tant que soumis j’avais une maîtresse qui contrôlait même mon érection et je peux vous dire que lorsqu’il fallait s’abstenir de bander alors que la maîtresse s’amusait par sadisme à me titiller les parties sensibles j’avais des frissons partout parce que quoi qu’il en soit l’excitation elle y est mentalement mais Dieu que c’est bon …Une fois j’étais tout nu devant ma maîtresse, les mains sur la tète et j’ai gémis alors j’ai eu droit à un sacré coup de tapette sur mes fesses. Ensuite elle m’ordonnait de bander, et là aussi interdiction de jouir jusqu’à ce qu’elle m’en donne l’ordre. Interdiction aussi de débander. Et là ma Maîtresse m’avait attaché le sexe avec une corde et s’est amusé à jouer avec …et si je débandait elle tirait ce qui m’aurait surement fait mal. Ensuite il est certain que plus il faut retenir son éjaculation, plus les couilles font mal… Pendant qu’elle me sodomisait avec un vibromasseur ou un gode ceinture, alors là interdiction de bander …mais on découvre un autre plaisir. Allongé sur le dos je me faisais prendre par ma maîtresse qu’elle appuyait ses doigts sur la partie entre les testicules et l’anus comme si c’était un clitoris…hummm le summum. J’ai aussi porté une culotte de femme pendant une journée avec interdiction de bander, mais ça je l’ai raconté dans un autre commentaire sur un autre billet.
    Dans une autre relation ou j’ai dominé (la seule relation dans ma vie ou j’ai été parfois dominateur) …on avait tout d’abord joué au docteur et j’étais en blouse blanche, je lui faisais un examen gynéco très très particulier. Comme elle commençait à gémir après lui avoir dit d’un ton sévère « c’est quoi ces gémissement? » Je l’ai punis et l’ai attaché les poignet en lui ordonnant de rester les mains sur la tête…. Je suis resté un moment à la regarder …Elle devait évidemment baisser les yeux en me regardant.. je me suis amusé à lui chatouillé le vagin avec un plumeau et ensuite en lui mettant les doigts, en caressant son petit bouton. Elle ne gémissait plus mais se tordait dans tous les sens… Pour la seule et unique fois dans ma vie j’ai ressenti un plaisir sadique…Pour peu elle aurait pleuré…mais ça a été trop fort alors elle a gémi …Ensuite ça a été la punition…Une fessée royale sur mes genoux avec des boules de geisha dans le vagin …Pas si terrible que ça la punition enfin de compte …les boules de geisha c’est elle même qui les avait amené dans ce but…Avant qu’elle atteigne son orgasme qui était à la portée j’ai vu que vraiment elle n’en pouvait plus …euh moi aussi d’un coté, alors je l’ai prise et l’ai baisé ou plutôt c’est elle qui m’a baisé vu que je lui avais donné le feu vert et elle s’est vite mise sur moi en position amazone…Nos ébats je vous laisse imaginer étaient fougueux…Peut être certains de vous trouveront que ce n’était pas de la vraie domination mais…je le rappelle je ne suis pas un vrai dominateur et là notre relation était switch…

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