Candauli-x

Candauli-x

Je suis Mr X., j’ai 43 ans et mon épouse adorée a 68 ans.

Dans ma vie professionnelle, qui m’occupe quasiment la totalité de mon temps, j’ai de hautes fonctions et d’immenses responsabilités qui me pèsent beaucoup. J’ai la chance de pouvoir compter sur le soutien indéfectible de ma tendre épouse.

J’ai un physique assez banal, les cheveux clairs, les yeux clairs, un teint frais de jeune homme, pas vraiment viril, je suis plutôt mince et pas très grand. En revanche, j’aime m’habiller classe et me la jouer grand bourgeois, voire même grand seigneur.

J’aime l’argent, le luxe et j’adore gâter mon épouse. Ma chérie est une très belle femme, très soignée, très classe, mince, blonde, le teint hâlé, elle a une ligne magnifique que bien des jeunes femmes lui envient. Elle porte toujours de très belles tenues, des tailleurs de grands couturiers, des robes de soirée, des talons hauts, elle est impeccable en toutes circonstances.

Nous sommes ouverts d’esprit, déjà, à cause de notre différence d’âge. Puis, je suis libéral, je trouve normal que ma superbe femme ne souffre pas de mes absences, et qu’elle ait des amants pour satisfaire ses besoins sexuels naturels. Je ne vais pas laisser une femme si magnifique dépérir.

A l’occasion, je ne dédaigne pas être présent. C’est pour moi un ravissement et un honneur que de voir ma ravissante épouse se faire baiser devant moi. C’est un cadeau qu’elle me fait. Je peux alors me branler, jouir, et chérir ce souvenir en y repensant.

Il m’arrive de participer, et même de mettre les choses en scène. Après tout, dans ce fantasmes, ma femme et moi sommes très unis, et elle aime que je soie le maître de cérémonie. J’aime contrôler les événements. Contrairement aux apparences, dans ce scénario, je ne suis pas soumis, je suis le maître.

J’ai pris la liberté d’inviter l’un de mes collaborateurs, mon bras droit, pour une soirée très intime avec ma chère et tendre. J’aime choisir l’étalon qui va faire hennir ma belle jument.

C’est un homme assez grand, la cinquantaine, le front dégarni, de stature moyenne, avec des lunettes et un accent du sud assez plaisant. Il a toujours l’air très strict dans ses costumes cravate, et j’ai envie de le dévergonder.

Je veux qu’il se lâche, mon sous-fifre. Nous avons dîné, et ma femme portait une robe fendue jusqu’en haut de la cuisse, très décolletée devant et dans le dos, laissant voir le début de ses fesses et de ses seins.

Il était tout rouge, mon bon Jeannot, et je le voyais mater discrètement ma femme, qui n’en finissait pas de l’allumer en se penchant. Pour être plus explicite, elle lui a fait du pied sous la table, il était tout rouge, j’ai souri, et lui ai dit « allons, mon ami, ne vous faites pas prier, Madame est chaude et vous désire, ne la faites pas attendre ».

Chérie a caressé la bosse qu’il avait dans le pantalon et s’est collée à lui. Il l »a embrassée maladroitement, et j’ai insisté « allons, déshabillez-la ! ».

Il a fait glisser la robe de Chérie, qui lui embrassait le cou, la bouche, elle a saisi les fesses de mon sous-fifre à pleines mains et les a massées. Elle a posé ses mains de rustre sur ses superbes seins nus, et il les a caressés, faisant pointer ses tétons.
Moi, je bandais bien dur, ma femme était très excitée et je voyais la mouille luire sur ses longues cuisses.

Je me suis caressé doucement, assis dans un fauteuil. Chérie s’est mise à genoux, et a sorti la bite de Jeannot, et a léché son gland, gobé ses couilles pleines, et lui a mis un doigt dans le cul. Il a commencé à grogner, et il s’est enfin lâché, le salaud.

Il a retourné Chérie, et l’a mise en levrette, il lui a léché la chatte, et le petit trou, c’était très excitant,e t elle gémissait déjà. Il l’a saisie par les hanches, et a pénétré sa chatte trempée, en grognant. Plus il la limait vite, et plus ses seins balançaient, elle était femelle à souhait.

Puis, il l’a tenue par les cheveux, et l’a enculée, en la traitant de salope, de pute, de chienne, de chaudasse, et plus il l’insultait en défonçant son beau cul, plus elle jouissait en criant de plaisir.

Moi, je me suis rapproché, pour voir de près son sexe de sous-fifre dans le cul de ma femme, rentrant, sortant, la faisant hurler. Je voyais aussi sa chatte trempée, et j’ai à Jeannot de la doigter. Il a mis deux doigts, elle était pleine, et j’ai sucé gentiment son clito pour quelle jouisse bien, comme elle le méritait.

Son orgasme fut puissant, et j’ai reçu un beau jet de mouille que j’ai dégusté à même la source.

Chérie en réclamait encore, jambes écartées, et a commencé à sucer la bite de Jeannot qui grossissait à nouveau. Je lui ai ordonné de bien faire jouir ma femme.

Et j’ai été comblé. Nous avons tous été comblés.

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