Le calendrier de l’avent ( partie 1 )

Le calendrier de l’avent ( partie 1 )

 

Je m’appelle Joel, et je suis soumis à ma femme adorée depuis quelques mois.

Nous étions mariés depuis 15 ans, une bonne entente nous liait, mais il faut avouer que sexuellement, je trouvais qu’il nous manquait quelquechose. Bien sûr, je n’avais pas envie d’évoquer le sujet  avec ma chère Mathilde, de peur de lui faire de la peine ou même de la perdre.

Pourtant, au fond de moi, je ressentais que Mathilde n’était pas comblée non plus, elle était tristounette au début, puis elle est devenue plus distante et parfois colérique, s’emportant contre moi pour des broutilles.

Je craignais que nous ne finissions par rompre à cause de notre insatisfaction sexuelle.

J’ai essayé de la tromper pour retrouver des sensations oubliées, et je suis allée voir une prostituée, qui était tout le contraire de ma femme, physiquement. Bonnie était blonde, mince, avec des petits seins mignons et de jolis tétons roses, un petit cul et une petite chatte lisse, toute épilée.

Elle a mis tout son savoir-faire au service de mon plaisir. Elle m’a offert un beau strip-tease pour me faire découvrir ses seins avec lesquels elle a joué devant moi, me faisant ensuite lécher ses tétons tout durs, elle s’est aussi caressé les fesses en se donnant des fessées et m’encourageant à en faire autant.

Assis sur ma chaise, je bandais, c’ était très bon, elle a alors écarté les cuisses et s’est assise sur moi, s’empalant sur ma queue. Après quelques va-et-vient sur ma queue, frottant ses jolis seins contre mon torse, mes mains sur son cul, j’ai giclé mon sperme et l’ai remerciée, offrant quelques billets et un petit pourboire pour sa gentillesse.

J’étais soulagée sexuellement, mais pas comblé. En plus je me sentais coupable d’avoir trompé ma femme. En rentrant, je me suis dit que je devais lui avouer ma faute plutôt que de porter ce poids éternellement.

Mathilde était si belle, dans sa robe portefeuille, assise à son bureau. Ses longs cheveux noirs était dénoués et tombaient en bas de son dos, en longues boucles, sa robe laissait entrevoir ses magnifiques seins généreux, et dévoilait aussi une partie de ses longues cuisses fuselées ornées de bas cubains.

Sans le vouloir, à la voir ainsi, j’eus une érection, et j’avais encore plus honte avec ce que je venais de faire. Comment avais-je pu tromper une femme si magnifique au lieu d’essayer de la satisfaire ? Le problème ne pouvait venir que de moi, ma femme était un trésor de sensualité, pleine d’assurance, et les hommes se retournaient sur elle avec désir, je le voyais bien, et je trouvais même cela excitant tout en étant vaguement jaloux.

Il m’est parfois arrivé d’être excité en l’imaginant se faire baiser par d’autres hommes. Un jour, un de mes collègues, Matthias, lors d’une soirée un peu éméchée, m’avait dit qu’il trouvait Mathilde superbe et qu’il adorerait la voir entièrement nue et lui faire l’amour sauvagement.

Cela m’a fait bander tout dur, j ‘étais un peu jaloux mais surtout très fier, et très excité de l’imaginer baiser ma femme, et qu’en plus, il ose me le dire à moi ! Quelquepart ,c’ était très humiliant, et cela aussi m’excitait. C’était comme si il se sentait supérieur à moi, et que je n’étais qu’une lopette à ses yeux, tout juste bon à être cocu.

Et maintenant, c’est moi qui allait annoncer à Mathilde que je l’avais cocufiée, quelle honte.

Quand elle me vit arriver, elle me dit tout de suite «  toi, ça se voit que ça ne va pas, tu as fait une bêtise, chéri ? » dit-elle en riant.

Je suis devenu tout rouge de honte, et je suais. J’ai dit : «  oui, ma chérie, je t’ai trompée avec une prostituée ». Ses yeux se sont agrandis, elle m’a demandait si c’était une mauvaise blague, et je lui ai tout raconté, l’implorant à genoux de ne pas me quitter, reconnaissant mon erreur, et demandant pardon, prêt à tout endurer pour sauver notre couple.

Mathilde était blanche, ses yeux lançaient des éclairs, et elle m’a giflé pendant que j’étais à genoux. «  Tu m’as trompé, pauvre type, et en plus, tu m’as humiliée, et tu vas devoir payer, très cher ». Elle m’a ordonné de rester à genoux, elle était furieuse.

J’ai promis de faire tout ce qu’elle voudrait. Elle a pris le calendrier et m’a dit : «  nous sommes en décembre, chaque jour, jusque Noël, je vas te faire subir des sévices et ensuite, nous verrons ce que je déciderai ! ».

J’ai promis d’être sa chose soumise et obéissante, le temps qu’il faudrait. Et j’ai espéré, que ce serait le plus longtemps possible, car j’étais très excité, je bandais, ma queue coulait même de plaisir, et je sentais que j’avais enfin trouvé comment notre couple devait fonctionner.

Là, je vais au coin tout nu, tout heureux, et j’attends mon châtiment. Je me demande ce que me réservent les prochains jours…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *