Les Chubby Girls

Je m’appelle Julien, j’ai 32 ans et j’aimerais vous parler de ce qui m’excite le plus au monde :
Les Chubby Girls ( filles potelées, grasses, délicieusement enrobées ).
Je n’ai jamais été fan des maigrelettes, sans cellulite, aux hanches saillantes et aux côtes apparentes. J’aime quand il y a de la matière, de la douceur, du moelleux. Je ne suis pas pour autant un adorateur des femmes en grave surpoids, en situation d’obésité, non, je parle de celles qui ont juste des formes. Des corps tendres, au pubis bombé, aux cuisses pleines qui se frottent quand elles marchent. En levrette, c’est un pur bonheur de pouvoir agripper des hanches dodues, de s’enfoncer dans une belle chatte ouverte, souvent, ces divines cochonnes sont plus gourmandes que les autres, s’offrent avec une moindre retenue. Je n’en fais pas une généralité ceci dit. J’en ai connu une qui était de cette trempe.
Une belle brune d’1m75, aux hanches larges, au ventre un peu rond, aux seins lourds, blancs et aux cuisses larges. Elle adorait le sexe, me sucer goulûment la queue durant de longues minutes, sans relâche, en faisant bien tourner sa langue sur mon gland rose, elle avait une manière très particulière de léchouiller mon frein, j’avais beaucoup de mal à me retenir et, souvent, je jouissais sans crier gare, longuement, par jets épais, longs, un orgasme puissant, accentué par la palpation de mes couilles, elle savait y faire la garce, elle passait même un doigt humide sur mon trou, l’enfonçait même si je lui demandais. En retour, je me glissais entre ses grosses cuisses pour y lécher sa chatte trempée, baveuse et ouverte. J’en aspirais le divin jus, je léchais sa rondelle, ses lèvres, son clitoris tendu et je la faisais jouir plusieurs fois dans ma bouche. Ensuite, elle venait s’empaler sur moi. Quel pur plaisir que de voir son ventre rond et ses seins ballotter au dessus de mon visage. Je lui aspirais les tétons et elle frottait son clitoris sur mon ventre pendant la pénétration profonde, il m’arrivait de lui glisser un doigt dans le cul, d’agripper son gros cul, de le malaxer avec vigueur. Je me finissais tantôt entre ses seins, au dessus d’elle, tantôt sur son cul. Quel délice d’asperger de belles giclées son fessier bombé parsemé de délicieuses petites fossettes. J’aime aussi me caresser en matant des camgirls enrobées, de belles chubby en rut, cuisses écartées, se godant avec délectation. L’une d’elles m’excite au plus haut point. Une blonde, grasse, au nez retroussé de cochonne, une poitrine blanche et grasse, un peu tombante, un physique de charcutière, bonne vivante, une bouche gourmande à faire des pipes sans sourciller. Comme j’ai pu me branler sur elle, juter avec frénésie, semi-honteux.
Mes potes auraient ri, les imagine me dire « tu bandes pour ce cageot ? ».
Parfois, les plus triquantes ne sont pas les plus bonnasses.
Seulement, peu l’assument. Oui, les moches ont la côte, allez voir sur les sites de cul, c’est une catégorie à part. Salir un beau mannequin aux cuisses fuselées, inaccessible, ce n’est pas toujours ce qui fait décoller.
Alors que la girl next door, la voisine de pallier, c’est un fantasme à portée de main si je puis dire. Un plaisir coupable. Elles ont accessibles, c’est d’ailleurs, un des fantasmes que j’entends le plus au téléphone rose quand je fais mon espion sur la ligne.
A quoi rêvent les hommes ? D’une femme qui voudra bien d’eux, ne fera pas la fine bouche, avalera sans faire la dégoûtée, acceptera leurs corps imparfaits car elle-même est loin des canons de beauté en vigueur…

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