Les étrennes

Les étrennes

Je m’appelle Charles, je suis un jeune cadre supérieur dans l’industrie. Célibataire, je gagne très bien ma vie. J’habite dans une résidence très classe en centre ville, un immeuble ancien haussmanien très classe , avec des voisins très classes aussi, tenu par une concierge très vigilante.

Ma concierge, Ghislaine, dite Gigi, est une belle femme de 50 ans, grande, brune, les yeux noirs courts et bouclés, elle est bien en chair, avec de gros seins et une taille bien marquée qui met en valeur ses hanches bien larges et son cul cambré imposant.

Elle est très féminine, très sophistiquée. Tous les jours, elle est maquillée soigneusement, elle porte un parfum capiteux, et des vêtements ajustés, jupe crayon au genou, chemisier, bas fins, bottines à talons, ou escarpins. Elle porte aussi des bijoux un peu clinquants, et il faut avouer qu’elle est sexy, ma concierge, malgré son air sévère, elle est même bandante.
Elle aime que tout soit en ordre, et elle fait attention à tout. c’est une femme polie, aimable, mais un peu froide. Tout le monde l’apprécie dans la résidence car elle fait bien son travail et est discrète. Bien que divorcée, elle ne s’est pas remariée, et même si l’on voir des hommes lui rendre visite le soir, on ne pourrait pas dire si ils sont ou non ses amants. Gigi est discrète.

Quand je la croise, nous nous saluons aimablement, et je sens que Gigi plaît bien à ma queue qui se dresse. Mais je n’ose rien tenter, même si elle me fait beaucoup d’effet, même si son décolleté me fait sacrément bander quand j’aperçois la naissance de ses gros seins fermes. Il m’arrive de me branler chez moi, le soir après avoir croisé Gigi dans l’une de ses tenues sévères et sexy, je l’imagine nue, me chevaucher, ses beaux gros seins balançant pendant qu’elle s’empale sur ma bite, et je jouis très fort.

Nous sommes le 2 janvier, je reviens d’un réveillon chez des amis et d’une fête arrosée le 1er janvier, et j’ai fait la grasse matinée, j’ai un peu la gueule de bois, je prends une douche et je sors acheter le pain. Il est midi, je croise Gigi, elle est là, fidèle au poste, rayonnante, sexy, elle porte une jupe moulante au genou, un chemisier cintré décolleté qui moule ses seins et met en valeur sa taille fine, et ses hanches larges.
Ma queue commence à durcir, et je suis un peu gêné, je me tourne de côté et souhaite bonne année à ma concierge. Elle me répond assez froidement. Je croise un voisin que je salue, nous échangeons quelques mots et je lui dis que Gigi a l’air de bouder. Il me demande si j’ai pensé à ses étrennes, comme il est d’usage . Non, bien sûr, je n’y ai pas pensé, je suis nouveau dans la résidence. Je remercie mon voisin, et je cours chercher 20 euros.

Je frappe à la porte de Gigi et lui souhaitant bonne année, je lui tends l’enveloppe. Elle me remercie en souriant et ouvre l’enveloppe, et là, son sourire se fige, son visage est glacial,dur.
« Comment ça, 20 euros, Mr Charles ? c’est une plaisanterie, vous êtes dans un immeuble superbe, et je me donne un mal fou pour que vous et vos voisins y viviez bien et vous ne me donnez que 20 euros d’étrennes ? Vos voisins ont tous donné au moins 100 euros ! Les étrennes c’est mon 13ème mois ! ».

Je suis confus, et tout rouge de honte, je lui demande pardon, et comment je pourrais m’excuser. Elle me toise, et me dit « pauvre lopette, tu n’es qu’un bon à rien ! ». Je suis honteux et vexé aussi, mais en même temps, bizarrement troublé. Je lui dis de me parler autrement. Elle me prend de haut « et puis quoi encore, salaud, tu te crois où ? Tu ne m’arrives pas à la cheville, sous tes grands airs, tu n’es qu’une lopette sans couilles » !

Elle est en colère, et moi, je suis excité, je bande comme un taureau, j’ai une grosse bosse dans le pantalon. Je me mets à genoux, et lui dit « pardon Gigi, je suis désolé ».
Elle me met une claque méritée et me dit d’un ton dur « déjà, c’est Mme Ghislaine, je ne te permets pas ces familiarités, misérable loque ! ».
Je la supplie maintenant de me punir, je ferai tout pour elle, je suis un misérable , elle a raison et je lui dis en baissant la tête. « Déshabille-toi, petite pute ». J’obéis en tremblant d’excitation, ma queue est dure, et elle sort un fouet qu’elle fait claquer par terre. « Mets-toi sur le lit, sur le dos, salope ! ».

Je m’exécute, et elle me dit « tu vas être le sex-toy de ta Maîtresse, au moins, tu serviras à quelquechose ! ». Elle se déshabille, ses seins nus balancent au-dessus de moi, je bande, elle s’assied sur moi, sa chatte sur ma bouche, et elle m’ordonne de lécher. Je lèche, je bois sa cyprine, elle jouit et mouille, je lèche son anus, son gros cul écrase mon visage, je bande, et elle s’empale très vite sur ma bite, comme dans mes rêves. Ses gros seins balancent, elle se sert de ma bite comme un jouet, je suis son sex-toy, elle m’appelle sa chose, elle jouit, et se retire avant que j’éjacule.

Elle me retourne sur le lit, et sort un gros gode-ceinture et du lubrifiant. Elle me met à quatre pattes et m’encule en me traitant de chienne, de salope, de pute, et je jouis comme un porc, honteux et heureux comme jamais.

Maintenant, ses étrennes, vont augmenter et régulièrement ! Il faut bien que j’entretienne une femme aussi charismatique et autoritaire…

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