Soutien au commerçant

Soutien au commerçant

Cela fait déjà plusieurs semaines que nous sommes confinés. Dans mon petit commerce, je vois beaucoup moins de monde. Je suis boucher, et d’habitude, ma boutique qui donne qui donne sur une place très fréquentée et qui a très bonne réputation est pleine, les gens font la queue et les affaires sont florissantes.

Maintenant, j’attends. Même mon associé ne vient presque plus.

En plus, je vis seul, dans un studio au-dessus de ma boucherie et je m’ennuie vraiment, à part quelques bouquins, des coups de fil, et internet. Bon, j’avoue, il y a aussi le porno qui m’aide à tenir.

Au début, c’était bien, cela faisait longtemps que je n’en avais pas regardé, et ça m’excitait grave. Toutes ces nanas à poil, super chaudes, qui aiment la bite, ça me remontait le moral et la queue.

Je me suis branlé plusieurs fois par jour, en matant des superbes lesbiennes qui se pelotaient les seins, se suçaient les tétons, se léchaient le minou en mouillant à fond, se frottaient la chatte l’une contre l’autre, j’aurais adoré mettre ma bite entre leurs chattes et juter sur ces jolis clitos mouillés.

J’ai maté des femmes super chaudes qui faisaient des pipes d’enfer avec leurs lèvres pulpeuses, et leurs langues de salope, des putes qui adoraient se faire défoncer la chatte et des chiennes à fond sur la sodomie, leurs gros seins balançant très fort.

Mais au bout de quelques temps, ça ne m’a plus détendu, mais bien au contraire ! Je me suis senti encore plus en manque ! J’aurais même donné mon commerce pour baiser une femme, n’importe laquelle, j’étais un chien en rut.

Un après-midi, chaud et ensoleillé, une femme est venue commander de la viande pour le lendemain. J’ai pris sa commande avec plaisir, souriant, et en prenant mon temps.

Putain, qu’elle était bonne ! La quarantaine, brune, le teint mat, les yeux verts, des gros seins, des cuisses fermes, un cul bombé, des hanches larges, hum, le pied. Elle portait juste une petite robe blanche moulante et décolletée qui faisait ressortir son teint mat et ses gros nichons.

Elle était perchée sur des hauts talons aiguilles qui lui faisaient un cul et des jambes d’enfer. Une vraie bombasse ! Comme dans mes pornos préférés…
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Je bandais comme un fou derrière mon comptoir. Elle m’a souri, et au moment de passer derrière le comptoir, j’ai oublié de baisser un peu mon tablier et elle a vu la grosse bosse dans mon pantalon.

J’ai rougi, et elle m’a souri en montrant du doigt ma bite en feu, je me suis excusé. Elle s’est approchée, et m’a dit ;’ c’est dur le confinement, n’est-ce-pas ? », d’une voix enjôleuse. Je lui ai répondu « oh oui, c’est très dur ». Elle a posé sa main sur ma queue, et m’a dit « oh oui, je vois ça, c’est vraiment très dur ! ». Elle a ajouté ; « pour moi aussi, c’est difficile, je vis seule, et j’ai des besoins et des manques, on devrait peut-être arranger ça ? ».

Une minute plus tard, j’avais baissé le rideau et fermé à clé, et je l’embrassais à pleine bouche, et la caressais fiévreusement en l’emmenant dans le studio.

Là, elle a  ouvert d’un coup tous les boutons devant sa robe, laissant sortir ses seins magnifiques aux gros tétons sombres et larges, tout durs. Je les ai pris à deux mains, et les ai sucés, elle gémissait de plaisir, j’ai passé ma main sous sa robe, elle n’avait pas de culotte, ma belle salope, et elle était trempée de mouille bien chaude.

Je lui ai mis deux doigts dans la chatte, elle a pris ma bite en mains et l’a frottée contre son clito trempé tout gonflé. J’étais sur le point d’exploser.

Je l’ai allongée sur le lit, et j’ai bouffé sa chatte, elle a massé mes couilles pleines et a léché mon gland, mon méat, et a sucé ma bite.

J’avais très envie de me vider dans sa bouche de pute, mais j’ai préféré la mettre en levrette, admirer son beau cul bombé, et large, le peloter à fond, enfoncer ma bite un peu dans sa chatte, le temps de la faire jouir, déchaînée. Puis je me suis retiré, et j’ai enfoncé ma bit dans ce magnifique cul offert, de plus en plus loin, en faisant claquer mes couilles. Là, j’ai joui en même temps qu’elle, et j’ai déversé tout mon foutre dans son cul. Que c’était bon !

Vu l’heure, elle devait partir, avec sa petite attestation, en me promettant de repasser le lendemain chercher sa commande…enfin une qui soutient les petits commerçants, et pas à moitié !

 

 

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