La Petite Salope en rouge

La Petite Salope en rouge

Maudit confinement! Dire que je ne peux même pas aller voir Mère-grand au risque de lui refiler le Covid-19. Qu’à cela ne tienne… Ce n’est pas avec elle que j’ai rendez-vous aujourd’hui mais avec toi. J’enfile cette petite robe moulante qui attirait tous les regards l’été dernier, direction la forêt, un panier dans une main, mon attestation dans l’autre. La raison ? Rien de plus qu’un « déplacement bref, à proximité du domicile, lié à l’activité physique individuelle des personnes ». Il fait beau, les oiseaux chantent, le printemps est là, l’air est plus pur que jamais.

Dans ce petit panier que j’amène avec moi, pas de galette ni de beurre mais quelques accessoires, dont ce joli martinet avec lanières en cuir destiné à corriger mon cul et à le rendre presque aussi rouge que ma robe… Tu m’attends sous un arbre, au bord du chemin, tenue élégante et sourire carnassier aux lèvres. Dès mon arrivée, tu te jettes sur moi pour m’embrasser goulûment en m’empoignant par les fesses, relevant au passage cette jolie robe en coton rouge très courte. D’une main experte, tu commences par me donner une petite fessée dont le bruit sec et franc sonne comme l’avertissement du calvaire délicieux que tu t’apprêtes à me faire subir. Je sens ton souffle dans mon cou, tu caresses mon corps qui palpite tout entier sous tes mains. Toi qui n’avais pas encore dit un mot, tu me susurres à l’oreille :

« – Où sont tes Louboutin ? Les aurais-tu oubliées ?
– Non… Elles sont dans mon panier.
– Mets-les s’il te plaît. »

Je me baisse légèrement, retire les ravissantes sandales plates que j’avais aux pieds et enfile à la place cette sublime paire d’escarpins vernis aux semelles écarlates qui tranchent avec le décor et me font soudainement ressembler à une poule de luxe.
« – Très bien petite catin. Penche toi et lève ta robe. »
Désormais perchée sur ces talons de douze alliant le chic à l’inconfort, je plonge mes yeux dans les tiens avec la mine réjouie d’une petite pute insolente. Ravie, je m’exécute et te tend ma croupe en prenant appui sur l’arbre épais qui nous abrite. Je ne sais pas tout-à-fait à quelle sauce je vais être mangée mais je suis sûre d’une chose : ta queue alerte grossit à la vue de ce spectacle. Tu te baisses à ton tour pour fouiller dans mon panier, duquel tu sors deux de mes jouets favoris : mon martinet et mon plug fétiche.

« – Tend moi bien ton cul, histoire que j’ouvre ton petit oeillet… Oui voilà, comme ça. »
Délicatement, tu m’enfonces ce plug, tu joues avec, le faisant gentiment entrer puis sortir de mon cul, tout en mordillant la chair de mes jolies fesses joufflues de tes dents acérées. Une fois mon cul bien dilaté et mon plug bien en place, tu me demandes de me pencher davantage en tenant d’une main ferme mon martinet. Impatiente du sort que tu me réserves, je me cambre, attendant avec excitation que les coups pleuvent… Et tu ne tardes pas à me les donner. Vlan ! Vlan ! Vlan !
« – Mmmmm… Putain, oui ! Haaaaaaaaan ! »

Toute gémissante, je tourne légèrement la tête pour t’observer par-dessus mon épaule… Le regard de petite garce vicieuse que je te lance en dit long sur le plaisir que je prends à être ainsi corrigée. Lorsque tu en as terminé avec le martinet, je continue de me dandiner sous tes yeux, comme pour te narguer, comme si je n’en n’avais pas assez eu. Jetant ensuite ton arme à terre, tu t’écartes pour admirer le spectacle de ce cul d’un blanc immaculé devenu vermillon… Dieu que j’ai pris cher ! Puis tu te colles à moi, prêt à mitrailler ma petite chatte avec ta queue rigide et chargée à bloc.
« – Tu sens cette poutre pleine de foutre ? Elle va venir cartonner ta petite matrice jusqu’à se vider entièrement dans tes entrailles, petite salope. »

Excité, la bave aux lèvres, tu fais glisser cette bite bien dure dans ma chatte inondée et tu te mets à me culbuter sans vergogne. Les lueurs du strass rougeoyant de mon plug dansent sous tes yeux, à mesure que tu tambourines comme un dingue dans ma petite meringue avec ton gros bâton. S’ensuit un échange des plus curieux :

« – Mmmmm… Nicolas ! Comme ta queue est grosse !
– C’est pour mieux te baiser ma Juliette…
– Nicolas, que tes mains sont larges !
– C’est pour mieux claquer ton cul ma Juliette…
– Nicolas, que tes couilles sont enflées !
– C’est pour les vider ! »

Sur ces mots et après avoir donné tes derniers coups de reins, tu décharges avec vigueur dans ma chatte de Petite Salope en rouge.

Moralité

On voit ici que de jeunes femmes,
Surtout de jeunes donzelles,
Fort jolies, garces, et sensuelles,
Font très bien d’écouter toute sorte de gens,
Spécialement les loups avides
Désirant voir leurs couilles vides
Prenant leur queue, leur téléphone,
Pour causer à ces polissonnes.
Les uns sont aimables et courtois
Quand d’autres se montrent plus rudes ;
Les seconds, exigeants, grossiers,
Suscitent ennui et lassitude
Mais heureusement les premiers,
Par leur discours, leur attitude,
Font sortir les salopes de leur bois.
Et comment ! Qui ne sait que ces loups respectueux
De tous les loups sont forcément les plus chanceux.

Juliette

9 réactions sur “ La Petite Salope en rouge ”

  1. Mélanie Réponse

    Coucou Juliette,

    J’adore ton texte, tu as beaucoup de talent, du second degré et tes rimes et traits d’esprit sont recherchés 🙂

    A quand un trio avec un coquin ?! Tu assures!

    Mélanie

    • Juliette Réponse

      Whaou! C’est un super compliment de ta part, toi qui a l’air curieuse et cultivée comme tout. Merci!
      Un trio? Ce serait vraiment chouette! Je suis partante, si un coquin veut bien se manifester pour essayer.
      À très vite j’espère 😉

      • Mélanie Réponse

        Merci pour tes compliments ma belle 🙂

        A très vite j’espère également!

  2. william Réponse

    Bonjour Juliette.
    Il est 5h, réveil matinal ce jour du à une putain d’érection qui m’a fait me mettre debout.
    Je prend mon ordi, je regarde le planning sur tel rose de ce jour. Et je vois un nouveau texte que je commence à lire.
    Cela m’excite encore plus fort. Je commence à glisser ma main sous mon caleçons sur cette queue qui ne fait que gonfler à en faire presque mal, je m’imagine à la place de ce personnage et la je commence de long va et vient sur ma verge pour bien la décalotter et faire ressortir ce jolie champignon en me rappelant tout ces choses que nous avons déjà vécu ensemble ma petite garce de Juliette.
    Donc après la lecture de ce texte sublimement écrit et narré avec prouesse à la façons d’une petite garce que toi seule sait faire. Je finis par encore une fois aller mater tes photos et je finis par une éjaculation sublime.
    Merci ma Juliette pour ce réveil à très vite pour une nouvelle conversation car maintenant j’aimerais entendre ta petite voix et ton petit rire qui m’émoustille.

    Encore merci pour tout ma gentille petite Garce

    • Juliette Réponse

      Oh mon William… Merci pour ton commentaire, ça me touche, vraiment. Je me réjouis d’avoir réussi à faire lever ta queue avec mes mots. C’est tellement bon de t’imaginer te toucher de bon matin en me lisant puis en me matant 😉 J’ai hâte de remettre le couvert au téléphone avec toi.

      Je t’embrasse. À très vite

  3. françois Réponse

    Bonsoir Juliette
    nous ne nous sommes jamais parle encore, mais quand j ai lu votre texte, je voulais vraiment vous dire chapeau.il y a un peu de tout dans ce texte, un peu d erotisme, d humour, d intelligence de truculence.L on devine là une sacrée femme derriere la plume.Quelle morale, l ami La Fontaine a trouve une émule qui dépasse le maitre.
    Merci de ce partage.
    Portez vous bien en ces temps complique.
    François

    • Juliette Réponse

      Merci François 🙂 Je sais plus où me mettre avec tant de compliments. Ton message m’intrigue en tout cas : on ne s’est peut-être jamais parlé mais je serais ravie qu’on fasse connaissance.
      Prends bien soin de toi 😉

  4. Arnaud Réponse

    Ah, chouette, le devoir est rendu. On peut enfin ramasser la copie. 🙂
    Voilà une façon très excitante de fêter ce lundi de Pâques. Ce fut une vraie gourmandise de découvrir ton histoire. À la fin de la lecture, j’avais une belle érection. Mon Dieu, quelle plume ! Ta prose est un régal. Tu es aussi douée à l’oral qu’à l’écrit. Je le savais déjà mais ce récit confirme une nouvelle fois tes multiples talents. Il n’y a pas d’autre femme comme toi, Juliette.

    • Juliette Réponse

      Merci ❤❤❤ Ce qui me fait le plus plaisir c’est d’avoir réussi à te faire bander (mais de toute façon je sais qu’on a le même goût pour la fessée, entre autres 😉 ). Je t’embrasse mon Arnaud. À bientôt

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