Le soumis de Dolorès

Par texto Dolorès décida de convoquer son soumis, Pascal, il devait se rendre à son appartement situé au deuxième étage, 8 avenue des butes à Paris, elle attendait son objet sexuel à seize heures précises, habillé d’un impair, d’un string ficelle et des bas noirs uniquement.
Pascal heureux de ce message si soudain fut à la fois excité et apeuré, il sait pertinemment, qu’il n’est que la chose, la pute, la salope de sa maîtresse Dolorès, qu’il n’est que son vulgaire soumis, elle va le dominer sans complexe, jouer avec lui comme un petit toutou !

Pascal un homme dans la force de l’âge, ni beau ni laid, brun, grand un peu de ventre, commença à se préparer pour son rendez-vous, avec sa somptueuse maîtresse Dolorès, enfila tout d’abord le string, puis les bas et  finis  par mettre son impair, « Quelle honte !  » se disait-il, tout en ce préparant pour son humiliation, il relut le texto, une deuxième fois, pour ne rien oublier, il devait sonner à l’interphone de l’immeuble une fois arrivé, pour qu’elle vienne le chercher.
L’heure venue, Pascal, devant la porte cochère, appuya sur le bouton où était inscrit le nom de sa Maîtresse, une voix douce répondit « Oui ! », alors Pascal s’annonça « C’est votre soumis Maîtresse », il eut un instant de silence, puis la voix de Dolorès, se fit entendre « un instant, je descends ».

Pascal savait que maintenant, il devait se taire et obéir. Dolorès ouvrit la porte, habillée tout en latex rouge, d’un corset, des gants longs jusqu’aux coudes, un shorty avec une fermeture éclair en l’entrejambe, des bas résilles noirs et de longues cuissardes vernis rouge, une magnifique déesse pensa-t-il.
Elle le regarda, de bas en haut, puis lui dit « Monte ! » d’un air autoritaire, en lui montrant l’ascenseur, il obéit, et monta, sentant une terrible tension monter en lui, il sentait le regard pesant de Dolorès sur lui. Elle commença à tâter son sexe à travers son impair, avec un sourire satisfait !

Arrivés devant la porte de son appartement, Dolorès , lui fit signe de s’arrêter, le regarda à nouveau et lui dit « Fout toi en string ici ! », Pascal s’exécuta sans rechigner et ôta son impair, le laissant tomber sur le sol, ferma la porte de l’appartement et suivit Dolorès dans le donjon, là où tout aller se passer.
Pascal resta droit, les jambes légèrement écartées sentant le souffle de Dolorès dans son cou, les mains de la jeune femme parcourant tout son corps, elle pinça ses tétons avec ses ongles devenus tout dur par l’excitation, il avait l’impression de sentir des lames sur sa poitrine le taillader.

La main gantée de Dolorès rentra dans son string, le sexe de Pascal commençait à bander, elle se mit à le branler, son pouce venait s’appuyer sur l’anus du soumis. Elle baissa soudain, son string complètement jusqu’à mi-cuisses « Tu n’es qu’une salope ! Mets tes mains sur la tête chiennasse, et offres toi à moi, ! », elle continua de le palper, de le tripoter pendant d’interminables minutes.

Dolorès s’arrêta et lui indiqua la salle de bain, c’était un rituel entre eux, le soumis retira son string, et entra sous la douche afin de faire un lavement, l’idée d’avoir son gode souillé ou ses gants répugnée Dolorès.
Elle le regarda se préparer, quand Pascal eut fini elle lui demanda de s’agenouiller dans la douche, Pascal imagine ce que va faire Dolorès, il en a très envie, même si cette situation lui semble répugnante, il souhaite faire plaisir à sa Maîtresse et ne servir que de pissotière ! Et accepte d’exécuter les ordres de Dolorès, genoux à terre, bouche ouverte.

Dolorès fit glisser la fermeture éclair de son shorty, s’accroupit sur le visage de Pascal, et commença à lui faire un jet d’urine, le liquide chaud coulait au fond de sa gorge, le soumis sentit l’excitation monter, il reçut son urine, l’odeur, le goût, ce champagne doré qu’il espérait tant, l’humiliation ultime pour cette pauvre lopette. L’urine coula à flots sur sa bouche, ses lèvres, son menton, son corps poilu, son ventre puis sa queue. Pascal se surprend à bander sous cette douche dorée, espérant pouvoir se caresser.

Dolorès se leva légèrement de son visage, baissa son regard vers celui de sa lopette et lui intima l’ordre de lui servir de PQ quand elle eut terminé, elle  mit son sexe sous la langue de Pascal. Elle comprit que la situation avait excité sa pute, Pascal était en train de se masturber couvert d’urine.
Dolorès sourit en le voyant, elle venait de lui imposer une étape supplémentaire dans la soumission et l’humiliation, elle lui demanda de se doucher et de se préparer pour le posséder un peu plus. De le suivre dans le donjon dès qu’il sera prêt.

Pascal arriva dans le donjon, il s’approcha de Dolorès, elle lui tendit un bandeau à mettre sur ses yeux, cela angoisse Pascal, il n’aime pas cela, mais c’était une nouvelle étape à franchir.

Dolorès  lui passa un collier autour du cou, puis des menottes aux poignets et des chaînes aux pieds. Elle entrava sa pute sur une croix de Saint André, des crochets étaient fixés au plafond, au sol aussi, le voilà nu, corps en croix sur la pointe des pieds, complètement à la merci de Dolorès.

La salope entend des bruits de chaînes, de pinces à tétons, Dolorès posa les pinces sur les bouts des pointes des seins de Pascal, la pression sera à son maximale à cet endroit, et les chaînes vont accentuer la douleur. Puis elle serre ses couilles dans ses mains, elle ne pousse pas la douleur trop loin, elle connaît les limites de son soumis, ils ont un contrat ensemble. Douleurs maîtrisées, le souhait de Pascal étant d’être la chose de Dolorès, être humilié.

Dolorès passa derrière lui, et commença à lui infliger des fessées magistrales sur son cul tendu, 15 fois, 30 fois, à chaque claque sur ses fesses Pascal bouge, il a mal mais cela reste supportable, puis elle le caresse un peu, le masturbe, la sensation est puissante, très puissante, la main de Dolorès serrée sur sa queue…
Elle détacha sa lopette du plafond, pris les poignets de Pascal et les croisent derrière le dos, elle le traîna vers un canapé, Pascal ce mis à genoux dessus, le cul offert à sa Maîtresse, doucement elle lui enfila un plug dans son trou du cul, elle fit le tour du fauteuil, se positionna juste devant la bouche de Pascal, et frotta le bout du gode ceinture qu’elle venait d’enfiler, là elle souhaitait prendre la bouche de sa salope, elle enfonça son gode aussi profond qu’elle pouvait, afin de provoquer des hauts de cœur chez Pascal.

La bouche de Pascal ne servant que de trous à bites, elle fit de nombreux va-et-vient, et se retira de la bouche baveuse de Pascal. Elle prit un préservatif et le mit sur son énorme gode, le soumis entendit le frémissement du papier que l’on déchire.
Il savait qu’il allait se faire sodomiser pendant de longues minutes, que Dolorès allait enfoncer son gode de plus en plus vite, de plus en plus loin, en lui claquant son cul de pute. Elle le pénétra, le sodomisa secouant Pascal de toutes ses forces. Puis s’arrêta, regardant le cul de cette carpette, elle sortit complètement le gode de l’anus, et le fouilla avec ses doigts, moment magique pour Pascal, car il aime ça.

Dolorès le détacha le basculant sur le fauteuil, elle posa littéralement son cul sur la bouche de Pascal un face sitting dans les règles de l’art, il n’avait pas d’autre choix de le lécher et d’y enfoncer sa langue, comme elle lui demandait. Pendant ce temps Dolorès était en train de le branler. Elle accéléra, de plus en plus vite, Pascal sentait le plaisir monter, sa Maîtresse veut le voir jouir ! L’éjaculation de Pascal est abondante, la séance avec Dolorès était longue, elle a provoqué le plaisir à plusieurs reprises pendant son humiliation.

Avec ses doigts, Dolorès préleva du sperme sur le sexe de Pascal, et enfonça ses doigts dans sa bouche, elle sait que cela écœure toujours Pascal après avoir joui.

Contraint, il le fait, le risque est trop grand s’il refuse, il risquerait de ne plus revoir sa maîtresse Dolorès. Et, il ne peut s’y résoudre, il sent le besoin d’aller plus loin à chaque séance…d’écouter son corps et ses limites….

3 réactions sur “ Le soumis de Dolorès ”

  1. Dolores Réponse

    Je suis de retour cette semaine après un court voyage en Italie. J’ai pris le temps de faire les boutiques de lingerie coquine et autres, j’en ai pris notamment une superbe pair de cuissardes en cuir noir à talons aiguille, elles me vont à merveille..

    J’attends mes soumis lécheurs de semelles qui doivent s’impatienter de mon absence.

    A très bientôt

    Maitresse Dolorès

  2. alex Réponse

    Ce fut un réel plaisir de vous lire et de disséquer vos propos avec délectation, Madame Dolorès.
    Ne retourner pas trop longtemps dans votre « grotte », notre appétit vous réclame déjà avec boulimie.
    Présentez par avance nos excuses à votre garde-manger adoré pour ce futur jeûne pédagogique.
    Et prenez bien soins de lui pendant votre absence de ce site…

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