On a fourré la dinde

Je m’appelle Clarisse, j’ai 40 ans, brune, la peau mate, les cheveux bouclés, les yeux noirs, je suis plutôt bien carrossée paraît-il, une belle paire de seins en forme de pommes fermes et des fesses hautes et rebondies. Je mesure 1m78 et j’ai de longues jambes fines et musclées. J’adore m’habiller très classe et même provocante.

Mon mari, Yann, a 45 ans, bel homme brun, un peu dégarni, les yeux verts sombres, une petite barbe, et une silhouette athlétique. Il a aussi une belle bite large et longue de 15 cm, ce qui me satisfait chaque fois pleinement, il est fougueux, endurant et très généreux au lit !

Nous pratiquons le libertinage depuis une dizaine d’années, cela s’est fait entre nous de façon naturelle, et nous nous sommes rapidement fait des amis dans ce milieu. Nos pratiques sont plutôt classiques, échangisme, triolisme, voyeurisme, exhibitionnisme…mais parfois, il nous arrive d’explorer d’autres territoires inconnus.

Chaque année, au mois de décembre, entre Noël et Nouvel An, nous sommes invités par notre bande d’amis à une soirée que nous appelons entre nous « dégustation ». C’est notre façon à nous de nous défouler sexuellement entre les fêtes.

Cette année, pour l’occasion, nous sommes partis dans le Var. Notre hôte et ami, Fred, nous a conviés pour trois jours d’orgasmes en folie. Sur le carton d’invitation, il est écrit comme thème :    «  on a fourré la dinde ! ». Connaissant l’imagination de notre ami, nous allons bien nous amuser.

Nous nous réunissons autour de la table, nous sommes deux couples hétéros, il y a aussi deux hommes, et trois femmes que nous ne connaissons pas. Notre hôte, Fred va arriver avec la dinde à fourrer. Un peu étonnés, nous rions tous ensemble en faisant connaissance avec les autres convives.

Quelques verres, quelques rires, et nous nous rapprochons les uns des autres, nous complimentant, nous caressant aussi, les seins, les fesses, un homme mordille le cul d’une des femmes superbes, l’autre lui lèche les tétons sous les yeux gourmands de mon mari qui bande bien dur. La seconde femme s’approche de lui, lui sourit, et lui attrape directement la queue bien dur, il gémit de plaisir pendant qu’elle le caresse, et il lui masse le cul en lui mordillant ses seins généreux de blonde aux tétons gonflés.

L’homme resté seul me saisit par les hanches et m’embrasse la nuque, j’adore, je frissonne, je sens sa bite bien raide et grosse contre mon cul, il me prend les seins, mon mari regarde, excité, la soirée s’annonce bien festive, les gens sont de bonne humeur, les tétons sont dressés, les queues bien dures et les chattes bien mouillées !

Notre hôte fait alors son entrée, vêtu d’un pantalon noir, et d’un nœud papillon simplement ; il a plaqué ses cheveux mi-longs noirs avec du gel, et ses yeux bleus brillent déjà de plaisir voyant que ses invités sont chauds…

Il tient en laisse un homme, un soumis naturellement, qui porte un collier sobre assez large, avec l’inscription « dinde ». Il baisse la tête, il est harnaché, à quatre pattes, ses larges muscles tendus, ses cheveux longs et blonds coiffés en tresses. Triomphalement, Fred, le maître de cérémonie, crie «  Je vous présente le dinde ! ». Le soumis se met à couiner, tandis que Fred le tapote. Nous éclatons tous de rire devant cette cène cocasse. Le soumis, humilié, baisse encore plus la tête.

Fred nous annonce alors que « dinde », c’est son nom pour la soirée, va nous servir d’amuse-gueule, de divertissement et de repas. Nous applaudissons, quelle excellente idée ! Chacun de nous s’approche avec des fourchettes et les enfonce dans la peau de Dinde qui couine de plaisir et commence à bien bander. Nous le léchons tour à tour pour le goûter. Je lui suce la queue, il bande et commence à perler, j’éclate de rire : «  tu n’es qu’une dinde, tu ne vas pas gicler du sperme enfin ! »

Dinde rougit, une femme lui suce la queue, et le lâche, il gémit, au supplice. Un homme le tapote avec sa bite raide, et lui donne quelques bifles. Il approche sa queue de Dinde qui le lèche en signe de soumission.

Fred claque des mains. Dinde se met à quatre pattes écartées, à genoux, et présente son croupion aux invités. Fred nous invite à fourrer la dinde. « Les dames d’abord » dit-il. J’enfile un gant en latex avec du gel lubrifiant et je fiste Dinde en tournant le poignet, il est bien dilaté, ça entre comme dans du beurre !

Dinde bande très fort et j’en profite pour enfiler sa queue dans ma chatte mouillée, pendant qu’une copine le fiste à son tour, et nous fourrons tous la dinde à la queue-leu-leu. Les hommes, la queue bien fière, l’enculent en rigolant, un par un, puis deux par deux ! Dinde est vraiment très dilatée, toute rouge, gémit de plaisir, pousse des petits cris, sa queue perle, nous la léchons tour à tour pendant que Dinde se fait fourrer.

A mon grand étonnement ,je reçois son foutre sur ma bouche, sur mes seins généreux aussi et mes copines viennent lécher le jus de Dinde en riant.

Dinde est confus, rouge, et la soirée se poursuit joyeusement. On pourra le dire, on a fourré la dinde !

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