Le voyage ferroviaire du plaisir

 Le voyage ferroviaire du plaisir

Cette histoire va peut-être vous surprendre, voir vous exciter, mais elle est quasi
véridique à 75 pour cent, d’ailleurs, il m’arrive de la raconter sur tel rose, avec
certains coquins très chauds aimant les anecdotes coquines !
Moi, c’est Dolly, peut-être avez-vous entendu cette histoire, dans ce cas vous me
connaissez, nous avons dû avoir un dialogue très chaud ensemble .
Voilà, par un soir d’hiver, à la gare de Rome en Italie, Dolly rentrait en France,
après quelques mois d’absence, elle avait besoin de retrouver sa famille, situer
dans le Centre à cette époque.
Sur le quai de la gare, elle cherchait son wagon-couchette, car c’était un voyage de
nuit, le départ était prévu à 20h30, il lui restait encore deux heures d’attente .
Elle décida de faire un petit tour au sein de la gare, afin de s’acheter journaux et
collation pour le long voyage qui l’attendait.
Au bout d’une heure le train allant en France arriva en gare, elle décida d’y monter,
cherchant du regard le numéro du wagon-couchette, qu’elle avait réservé.
Dolly fit glisser la porte de sa couchette, personne à l’intérieur, elle pensa tout
simplement qu’elle allait faire le voyage toute seule, elle commença, à s’installer, en
rangeant ces valises, et décida de s’asseoir, elle regardant à travers la vitre les
voyageurs qui commençaient à arriver pour le départ.
Quand soudain, la porte de sa couchette s’ouvrit, elle pouvait distinguer une belle
et grande silhouette masculine, l’homme s’approcha doucement, un large sourire
aux lèvres et dit à la jeune femme que j’étais :
lui : Hello, comme stai ?
Dolly : Bene, gracie mille !
Il décida de ranger ses bagages, également, Dolly ne puts’empêcher de le
dévisager, d’admirer ce bel hidalgo, qui était juste devant elle, un peu gênée de
cette attitude, elle décida da d’ouvrir un des journaux qu’elle venait d’acheter,
faisant mine de le lire.
Puis dans un français très correct, ce bel italien, proposa de s’asseoir auprès d’elle,
et entama la conversation :
« Enchanté, moi c’est Luigino et vous ? », lui dit-il
«enchantée Luigino, moi, c’est Dolly, je suis française », la conversation s’installa
entre Dolly et Luigino, « Où allez-vous ? »lui demanda-t-elle
« Je vais voir des collègues français sur Paris et vous ? »
« Je dois prendre ma correspondance sur Paris, mais je rentre dans ma famille qui
est sur Chartres » « Vous voyager souvent seule Dolly ? En pleine nuit ! »
« Non, c’est la première fois » répondit elle un peu surprise par la question.
Luigino avait bien remarqué les petites joues rouges de honte de Dolly, ils
continuèrent de discuter, rigoler, lorsqu’ils entendirent que le départ du train était
imminent.
Chacun s’installa à sa place, jaugeant l’autre discrètement, Dolly commença à
ouvrir sa petite boîte à sandwich triangulaire, et proposa à Luigino l’autre morceau.
« Avez-vous faim, Luigino, le voyage va être long » dit elle avec un grand sourire.
« Merci, c’est gentil à vous, mais lorsque je vous vois, j’ai faim de tout autre
chose ! » s’exclamât-il.
Elle ne put s’empêcher de croiser et décroiser ses longues jambes en entendant
ces mots, si excitant à ses oreilles, et de glisser sa main droite sur son corsage
ouvert, la tentation était grande, seule dans ce wagon avec cet homme si
séduisant. Maladroitement, elle lui répondit :
« Faim de quoi ? Alors ? » elle comprit tout de suite , qu’elle venait de provoquer un
italien, au sang chaud.
Il se leva de sa banquette, se pencha sur le visage étonné de la jeune femme, il le
prit entre ses mains et y déposa un doux baiser ; sentant la belle pas du tout
apeurée, il l’enveloppa de ses bras musclés et continua à l’embrasser
langoureusement, elle sentit la chaleur de sa peau, son odeur et céda rapidement
aux caresses qu’elle sentait glisser sur ces cuisses, qui devenaient chaudes et
moites. Sa langue venait chercher celle de cette belle inconnue.
Dolly commença à défaire la braguette du jean de Luigino, en s’appliquant à
sortir son sexe tendu, et se mit à le caresser tout en regardant cet homme dans les
yeux, puis petit à petit, elle se mit à embrasser tout son corps, en déboutonnant de
l’autre main sa chemise, parcourant son torse, son ventre, son nombril.
Dolly commença par passer sa langue sur la queue de Luigino, tout au tour à la
lécher comme si elle lécherait une énorme glace ; les mouvements de sa tête
étaient lents et doux… Elle remarqua que le jeune hidalgo apprécié ce qu’elle lui
faisait, faut dire que Dolly était douée et savait y faire avec sa bouche gourmande…
Luigino né puts’empêcher d’entreprendre de lui donner de petits coups de reins au
fond de sa gorge tellement l’excitation était grand.
Quand soudain, Dolly à genoux entre les jambes de Luigino, pratiquement
nus tous les deux, quelqu’un frappa à la porte !
Un peu surpris, mais toujours excité, les jeunes amants décidèrent de répondre
en choeur !
« Oui, c’est pourquoi ? »
Derrière la porte, une voix autoritaire répondit, « C’est pour le contrôle des billets,
Madame, Monsieur », Dolly et Luigino étaient pris de panique, nus dans ce wagon,
et pas le temps de se rhabiller, car la porte commençait à coulisser et à s’ouvrir
complètement.
Le contrôleur eut un sourire réprobateur, mais vicieux, la scène qu’il avait devant lui
devait lui mettre l’eau à la bouche, Dolly se mit à chercher son billet qui était dans
la poche de son manteau, accrocher sur le montant, quant àLuigi, il le sortit assez
rapidement de son pantalon ouvert, et le tendit au contrôleur, elle en fit de même
quelques minutes plus tard.
Avant de partir, l’homme se retourna devant le couple dénudé, et dit amusé :
« amusez-vous bien les jeunes, je vous aurai bien accompagné ! », puis la
porte se referma derrière lui.
Surpris, Dolly et Luigino se regardèrent et éclatèrent de rires ensemble, situation
burlesque mais tellement excitante !, Dolly continua doucement à continuer ce
qu ‘elle avait commencé à entreprendre quelques minutes auparavant. Quelle ne
fut pas la surprise de Luigino, quand il sentit à nouveau cette langue, cette bouche
lui aspirer le gland, puis sa bite tout entière, goulûment, comme si Dolly était
affamée. C’était un moment magique, pour le jeune homme.
il la prit par les épaules puis renversa la situation. Il l’allongea sur la banquette,
l’embrassa, fit jouer sa langue avec celle de Dolly. Pendant ce temps, ses mains
effleuraient le corps chaud de la jeune femme, la poitrine de Dolly apparu sous les
yeux de Luigino sous les lumières de la couchette. Ses mains se posèrent dessus,
caressant le sein, doucement, le malaxant du bout des doigts, s’attardant sur les
tétons durcis, ,,deux doigts vinrent pincer un des tétons, elle sursauta, mais
appréciait le moment, ils durcirent encore plus… Luigino écarta les jambes de la
belle, tout doucement, et découvrit la chatte de Dolly, rasée avec un petit triangle
noir. Il vint poser sa bouche dessus et commencer à écarter les lèvres pour y faire
apparaître son clito, clito qu’il se mit à titiller avec sa langue tandis que ses doigts
caressaient le corps de la belle.
Il aspira le petit bouton de Dolly, joua avec sa langue, plus il continuait, plus il
sentait ce corps se mouvoir et entendait la respiration de Dolly de plus en plus
haletante, il sentait les mains de la jeune femme plaquer son visage contre ce sexe
chaud et humide de plaisir.
Il continua ses caresses, passant sa langue sur le minou de Dolly, celle-ci, posa à
nouveau ses mains dans les cheveux de Luigi et appuya très fort comme si
elle souhaite qu’il insiste à cet endroit bien précis,,, Ce qu’il fit… elle bougeait plus
rapidement, gémissait puis finit par éclater sa jouissance… Luigi sentit un petit jet
ce projeter sur son visage.
Luigi continua ses caresses en remontant sa langue sur le corps bouillant de Dolly,
passant sur son nombril, puis ses seins lourds, jusqu’à son cou. Et l’embrassa avec
un large sourire de conquête et lui disent « bien ! J’aime les femmes chaudes,
provocatrices voir un peu salopent ! Tu es andantema joli, trop envie de toi ! »,
Dolly le regardait droit dans les yeux, et dit à Luigi, « Tu n’as encore rien vu! ». Elle
sentait le souffle de Luigino s’accélérait sa chatte plaquée contre sa queue, elle alla
chercher cette bite entre ses doigts pour la faire doucement glisser entre ses
cuisses encore trempées par sa jouissance, Dolly sourit au contact du sexe de
Luigino, pour la rassurer, il lui dit « ne t’inquiète pas, je ne te ferais pas mal ! », elle
sourit de nouveau et se laissa faire. Il sortit un préservatif de la poche de son
pantalon et l’enfila sur sa verge.
Luigino la fit mettre en levrette et glissa sa queue délicatement dans le sexe de
Dolly, cela glissaitnaturellement tellement elle était mouillée. Il commença des vaet-
vient lents alternés par des moments de coups de butoirs secs. C’était au tour de
Dolly de donner le rythme, elle accélérait le mouvement de ses hanches, Luigi
comprit qu’il lui fallait intensifier ses coups de reins et commença à la pilonner un
peu plus vite.
La respiration de Dolly se faisait plus lourde. Luigi le fit s’allonger sur le dos, et vint
la pénétrer. Ses mouvements plus rapides entre les cuisses de la jeune femme, il
pouvait en profiter pour l’embrasser… Puis vint le moment où ils crièrent à
l’unisson leur jouissance à l’intérieur de ce wagon où certainement les autres
voyageurs avaient entendu leurs étreintes endiablées !
Couchés l’un contre l’autre, ils continuèrent à discuter. Le temps semblait
infini. Enlacés l’un contre l’autre, ils ne pensaient à rien d’autre que de
s’endormirent.
Le lendemain matin, arrivée à la gare de Lyon à Paris, Dolly et Luigi, se dirent au
revoir sur les quais de la gare, Dolly n’était pomponnée aucune trace sur son
visage de la nuit mouvementée, qu’elle venait de passer avec ce bel inconnu.
Elle s’approcha de lui pour l’embrasser et lui glissa dans sa poche le petit string
qu’elle portait juste avant de le rencontrer et lui dit « Tiens petit cadeau, en
souvenir, je te souhaite un bon séjour en France avec tes collègues, moi je vais
retrouver ma famille ».
À son tour Luigino, l’embrassa doucement et aux creux de l’oreille, il lui dit « Tu es
une véritable petite chienne, mais qu’est-ce que tu es bonne ! J’en ferais part à mes
collègues Carabinieri français, ils vont adorer ! ».
Dolly compris par cette dernière phrase qu’elle avait passée la nuit, dans un wagon,
à faire l’amour avec flic italien ! Elle sourit satisfaites, envoyant des baisers du bout
des doigts, tendit que la silhouette de Luigino s’éloignait doucement, vers sa
destinée, quant à Dolly, elle montât une heure après dans le train pour sa
correspondance jusqu’à Chartres.
En espérant que cette histoire, ma petite tranche de vie, vous ait plu, votre coquine
Dolly

2 réactions sur “ Le voyage ferroviaire du plaisir ”

  1. alex Réponse

    Le style est particulier. :s
    Le récit brut …… Il y a un petit accroc sur les rails …….

    • DOLLY Réponse

      Merci Alex pour ton témoignage, dsl pour ce récit lol!!!
      A priori tu préfère Mon style BDSM !!! mdr!!
      Bises
      Dolly

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