J’ai trouvé un moyen d’arrondir mes fins de mois difficiles en quelques clics grâce à des petits coquins. Vous voulez que je vous en dise plus?

J’étais une jeune étudiante fauchée mais très travailleuse, ça ne me laissait pas beaucoup de temps pour un job étudiant. Comme beaucoup de jeunes filles de mon âge, mon dressing était rempli de vêtements et de chaussures que je ne portais quasiment jamais. C’est donc tout naturellement que j’ai commencé à faire mon petit tri. Bien décidée à mettre mes annonces en avant pour vendre au plus vite, j’ai décidé de faire des photos avec les vêtements ou les chaussures portés. Après tout, j’ai un physique assez avantageux alors autant le mettre en avant et ainsi espérer attirer le regard des potentiels acheteurs.

Me voilà donc à essayer de prendre des poses plus au moins avantageuse pour vendre quelques robes mais surtout quelques paires de chaussures.

Je m’applique pour rédiger des jolies annonces, précises et très bien détaillées. Les premiers mails ne tardent pas à arriver dont un monsieur très intéressé pour acheter une paire d’escarpins rouge vernis pour les offrir à sa femme. Il se met à me poser des questions sur leurs usures, mais également sur les odeurs qu’elles peuvent avoir. Je suis quelque peu surprise mais je réponds de façon précise à ses interrogations. Il me demande des photos supplémentaires. Étant vraiment fauchée et par peur de louper une vente, je m’exécute rapidement. Mon potentiel acheteur se met à me faire des confidences, il cherche des chaussures de femmes d’occasion, si possible bien portées : elles ne sont pas pour sa femme comme il me l’avait dit lors de nos premiers échanges mais pour lui. Les chaussures et les odeurs de pieds l’excitent. Il me demande si je suis choquée. Je dois reconnaître qu’au premier abord, je le suis un peu, mais en y réfléchissant quelques minutes, pourquoi pas, chacun prend du plaisir comme bon lui semble.

Je continue à répondre aux messages et au fur à mesure des échanges, je sens en moi monter une légère excitation. Mon acheteur me demande des photos de mes pieds contre quelques euros supplémentaires lors de l’achat des mes escarpins. Sans réfléchir, me voilà en train de me vernir les ongles et à prendre mes pieds en photos sous toutes les coutures. Aussitôt faites, aussitôt envoyées. La réaction est immédiate : mes pieds sont bandants! Me voilà en train de rougir derrière mon écran. Je me prends au jeu des photos. Je fais des photos avec chaussures, bas, collants…
et je me crée même un compte sur un site dédié pour ce genre de photos. Moi qui pensait me faire quelques euros en vendant des affaires que je ne porte plus, me voilà en train de commercialiser des photos de mes pieds. Très vite, les acheteurs ne veulent plus que mes pieds, ils ont des demandes plus précises. Un acheteur aimerait une vidéo de mes pieds branlant une queue jusqu’à ce qu’ils finissent recouvert de foutre… l’idée est excitante, je n’ai jamais eu ce genre de pratique mais je suis curieuse de tester et surtout il me propose un bon prix. Je demande à un ami si il est partant, il ne se fait pas prier, à mon grand soulagement. On se retrouve dans mon petit appartement à se filmer à l’aide d’un smartphone et d’un trépied. Pas idéal, on s’y reprend à plusieurs fois pour avoir le bon cadrage. On finit par trouver le bon angle et me voilà en train de faire ma première branlette avec les pieds. J’envoie la vidéo, l’acheteur est pleinement satisfait. Je décide d’en proposer plus : des vidéos de mes pieds pendant que je gémis avec mes cris en fond sonore, mes pieds et ceux de mon amant pendant qu’on s’envoie en l’air… et bien d’autres. Je suis passée de l’étudiante qui vide son dressing pour quelques euros à l’étudiante qui vend des photos de ses pieds contre quelques billets.
Vais-je continuer à vendre des photos de mes pieds ou vais-je passer à la vitesse supérieure?