Je me travestis dans le dos de ma femme

Bonjour,

Je m’appelle Philippe, j’ai 43 ans et j’aimerais me confesser à propos d’un de mes délicieux plaisirs coupables. Un penchant que j’assouvis dans le plus grand secret. Je ne me confie à ce propos qu’au téléphone rose, avec des hôtesses bienveillantes et ouvertes d’esprit qui peuvent me comprendre.
Je suis brun aux yeux bleus, je mesure 1m75 pour 60 kilos, j’ai une silhouette mince et finement musclée, des hanches étroites, un petit sexe. Je suis quasiment imberbe, seulement poilu du pubis et des jambes, quoique très légèrement, j’ai commencé à m’épiler il y a peu. Ma compagne, Gabrielle fait à peu près la même taille que moi et nous avons sensiblement la même corpulence. Je me demande même si inconsciemment, ce n’est pas ce qui m’a attiré le plus chez elle.
Elle me voit comme un mari aimant qui aime bien lui offrir des dessous affriolants. Si elle savait, elle tomberait de haut. C’est une femme douce, conventionnelle, avec des principes et profondément marquée par son éducation judéo-chrétienne. Elle aime faire l’amour mais sans frivolités, c’est un devoir pour elle. Pour ma part, j’ai sans doute fait l’erreur monumentale de vouloir rentrer dans le moule de la société bienséante en taisant mes penchants et mon goût immodéré du travestissement.

J’aime appeler le téléphone rose en revêtant les vêtements et sous-vêtements de ma compagne. Je choisis mon moment, elle part faire les courses et je sors tous mes accessoires. Tout est prêt à être remis sous clé au cas où elle reviendrait précipitamment ou bien qu’un livreur passerait porter un colis. Je suis passé maître dans cet exercice de camouflage express. Je lui offre donc les dessous que j’aime porter, ils ne sont pas toujours de son goût, mais peu m’importe ! J’aime les portes jarretelles classiques, pas les bas auto-fixants.
J’ai un faible pour les chaussures aussi, et par bonheur, elle chausse du 41 comme moi. Je lui fait donc présent d’escarpins hors de prix qu’elle ne portera jamais, elle doit me trouver bien dépensier, elle ne s’en offusque pas outre mesure, je gagne bien ma vie en tant que cadre dans une grande entreprise, donc, ce n’est très problématique.
Elle a donc droit à des Louboutins. Noirs, toujours, j’aime ce qui est classe. J’aime aussi la lingerie fine en dentelle, les shortys qui mettent en valeur mon fessier bombé, les soutien-gorge en satin, c’ est si bon, il m’arrive même de me masturber dedans, un délice. Je me pare donc de mes plus beaux atouts puis j’appelle l’ hôtesse. J’aimerais tant me faire défoncer au gode ceinture par une belle femme un jour, c’est toujours le scénario que je soumets à mon interlocutrice. J’aime qu’une voix féminine me guide pendant que je m’empale sur un beau gode ventouse. Je l’ai également offert à ma femme, elle en fut limite choquée, l’a essayé une fois pour me faire plaisir mais sans y prendre goût. Elle me lèche le petit trou par contre, bizarrement, malgré tous ses tabous, cela lui plaît. J’aime me faire dominer au téléphone, me faire insulter, traiter de petite chienne, de pute assoiffée de bite. Ce n’est pas mon orientation sexuelle à la base, mais j’aimerais beaucoup essayer un jour de sucer une bonne queue. Je jouis bien fort à la fin de la conversation, je lèche mes doigts plein de foutre bien goulûment, un régal.

J’aimerais tant pouvoir assumer mon vice au grand jour, trouver une domina bien sévère, j’espère un jour trouver le courage de quitter ma femme et ma petite vie bien rangée pour m’adonner à tous les plaisirs qui me font tant envie 😉

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