Sugar baby

Je m’appelle Julie et je suis étudiante en Lettres Modernes, j’ai 22 ans et je suis en Master 2.
Je passerai prochainement un CAPES afin de devenir enseignante en français.
J’ai financé mes études d’une manière peu orthodoxe, vous pourrez me juger ou au contraire être excités par ma démarche. Le financement des frais d’inscription, je le dois à la générosité d’hommes plus âgés que moi.
Des Sugar Daddy, peut être connaissez-vous le principe ? Avant toute chose, je vais me décrire physiquement. Je vais sans doute vous étonner mais je ne suis pas ce que l’on peut appeler une fille parfaite, une créature digne de playboy. Je suis une fille jolie, brune aux yeux noisette avec une grosse poitrine mais qui a un plusieurs atouts majeurs : Une grande ouverture d’esprit au niveau sexuel mais aussi de la conversation, une culture étendue et une certaine psychologie, une clairvoyance, un intellect vif. C’est sans doute cela qui a le plus fait faiblir mes riches donateurs. Je me suis inscrite sur un site spécialisé connu mondialement qui permet aux Sugar Daddy et aux Sugar baby de s’y rencontrer.
Le pouvoir est aux hommes, ils affichent leurs revenus annuels ainsi que leur patrimoine. Tous, masqués, anonymes, souvent mariés, carriéristes s’ennuyant, cherchant des plaisirs que ne peuvent plus leur offrir les femmes de leur milieu social. Ils achètent la jeunesse et la jeunesse s’y vend, corps et âme au plus offrant.
Le terme de prostitution n’est jamais prononcé, mais c’est pourtant ce dont il s’agit. Certaines filles s’affichent avec des sacs Chanels, avachies sur des voitures de luxe sur leur profil, demandent des sommes astronomiques et d’autres plus subtiles comme moi cherchent seulement une âme charitable sans trop de perversions susceptible de les aider financièrement. Tous ne savent plus où donner de la tête, les contacts se multiplient, il faut faire un tri sélectif. J’ai eu de la chance, je suis tombée sur Bertrand, il s’est occupé de moi sur la durée et ne m’a jamais imposé de pratiques sexuelles dégradantes, il est resté honnête, courtois, non intrusif dans ma vie privée et pourvoyant à mes besoins, à condition que je satisfasse ses désirs, envies de sexe, de compagnie, de conversation.
L’arrangement parfait. De plus, très bien fait de sa personne et magnifiquement conservé pour ses 54 ans. J’ai été sa petite poupée docile, acceptant ses caprices, fessées, l’accompagnant en club libertin, dîner d’affaires. J’ai sucé sa belle grosse queue autant de fois qu’il le souhaitait et il a financé mon loyer ainsi que l’intégralité de mes frais de scolarité, manuels scolaires, voyages culturels depuis ma première année à la fac jusqu’à mon Master. J’ai donné de ma personne mais toujours avec joie et excitation, il est fasciné par mon impressionnante culture et mon sens de la répartie mais aussi par ma maturité sexuelle ainsi que mon absence de répugnance à tester de nouvelles pratiques. Il a réalisé plusieurs fantasmes grâce à moi, nous l’avons fait avec des femmes, des hommes, divers accessoires.
Il m’a dominée, je l’ai dominé, toujours dans le respect de nos limites personnelles. Toutes les Sugar Baby n’ont pas ma chance, certaines tombent vraiment mal, je ne le conseille pas mais si vous avez assez de cran et d’intelligence, vous pouvez vous en sortir et trouver le bon généreux donateur. Il a été le seul et l’unique, maintenant , je me débrouille sans lui, j’ai mis assez de côté pour être tranquille. J’ai un copain qui est prof dans un collège, mais on gère sans.

En tout cas, je ne regrette rien, Bertrand m’aura permis d’en apprendre un rayon sur le sexe …

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