Un puceau enchanté

Un puceau enchanté

A 18 ans, j’étais encore puceau. J’ai 50 ans et je me souviens encore de mon dépucelage improvisé. C’est un doux souvenir dont je me rappelle parfois avec nostalgie, et même avec excitation…il m’arrive encore de secouer énergiquement ma bite en y repensant.

C’était juste après la rentrée des classes, je redoublais ma classe de terminale. Mes copains étaient à la fac mais on faisait encore des virées ensemble.

Entre mecs, ça y allait, on matait parfois un porno qu’on louait au vidéo club et on faisait un peu notre éducation avec ça, surtout moi qui était puceau. Mes copains se moquaient un peu de moi, et racontaient leurs exploits avec leurs petites amies ou avec des filles libérées qui aimaient prendre du bon temps.

J’étais gêné, j’avais envie aussi de baiser, je n’ai pas honte de le dire, mais j’étais timide avec les filles, un peu coincé même, je n’osais pas. Les filles se lassaient et allaient voir ailleurs.

Un jour, nous sommes allés en boîte de nuit, en Belgique. Mes copains draguaient à fond, les filles étaient chaudes et les mains baladeuses, nous étions 5 en arrivant dans la boîte de nuit, et pour en repartir, nous étions deux.

Mon copain m’a dit que ça ne pouvait plus durer, qu’il fallait que je connaisse les joies du sexe ? Je lui ai répondu que j’en mourais d’envie. Nous avons parlé de nos fantasmes. Je lui ai raconté la femme de mes fantasmes, une belle blonde, bien en chair, avec de gros seins, un gros cul, voluptueuse, sensuelle, chaude, et qui aurait très chaud à la chatte.

Il a dit « ok, on va faire ça ». Direction Anvers. J’avais un peu bu, j’étais gris mais pas saoûl.

Nous voilà arrivé au bordel. Enfin, un endroit privé où les femmes étaient très peu vêtues, et pas farouches du tout. Elles nous tournaient autour, plus aguicheuses les unes que les autres carrément décolletées, jupes ras-la-moule, certaines presque à poil, en culotte et soutien-gorge transparent.

J’avais bien la gaule, j’étais bien déterminé à perdre mon pucelage anonymement avec l’une de ces créatures expérimentées.

Elle est apparue, je l’ai choisie aussitôt. Ce n’était pas la plus belle, mais elle me mettait le feu au corps. Une grosse blonde, superbe, un bon gros cul qui ondulait dans sa micro-jupe moulante, des gros seins qui débordaient de son soutien-gorge en dentelle transparente qui laissait voir ses gros tétons roses bien larges et durs. Elle avait l’air d’une cochonne, tranquille, avec un regard de braise, j’ai adoré son boa noir qui la faisait ressembler à une star démodée.

Nous sommes montés dans sa chambre. Mon pote lui avait dit que j’étais puceau, et il est parti avec un brune sauvage.

Elle a commencé à me déshabiller lentement, puis m’a massé avec une huile qui sentait bon le musc. J’adorais ses mains expertes sur mon corps, puis entre mes cuisses, sur mes couilles furtivement, sur mon sexe, un peu plus longtemps…elle savait me faire bien bander !

Puis elle a commencé un strip-tease langoureux, de dos. Elle dansait lascivement, et a retiré son soutien-gorge. Son gros cul balançait sensuellement.

Elle a fait glisser sa jupe, puis sa culotte en dentelle. Ses grosses fesses appétissantes m’excitaient à fond. Elle s’est retournée, les mains devant les tétons, ses gros seins blancs débordaient de ses petites mains aux ongles rouges vernis.

Sa chatte était recouverte d’une toison fournie toute blonde et un peu frisée, et c’était super excitant, on avait envie d’y fourrer les mains, et la bite aussi.

Elle s’est approchée contre moi, et a mis mes mains sur ses seins, j’ai peloté, j’ai adoré, je bandais comme un fou. Elle s’est mise sur moi, et a placé ma queue entre ses gros seins pour une branlette espagnole, que c’était bon ! Je léchais ses tétons quand ils dépassaient et je caressais son cul tout doux.

Elle s’est assise à califourchon, et a pris ma bite bien dure et l’a mise dans sa chatte toute chaude, toute serrée, complètement trempée, c’était la première fois que je sentais cette sensation, c’était exquis !

Sa toison bouclée ondulée sur moi, je sentais quelques poils sur mon pubis, ses gros seins balançaient et je les ai pris à pleines mains, les malaxant, bouffant ses gros tétons.

Mon sexe faisait des va-et-vient délicieux, sa chatte se resserrait de plus en plus, j’ai senti des spasmes, elle avait un orgasme, ma belle salope, j’ai joui à fond dans sa superbe chatte toute chaude en la regardant se pâmer de plaisir sur moi.

Elle s’est retirée, je me suis rhabillé en disant merci. J’ai laissé deux gros billets. Elle m’en a rendu un en disant « tu m’as fait u bien, alors c’est moitié prix ».

C’était un peu étonnant mais flatteur. Je suis sorti tout léger et très heureux, et en plus j’avais pris confiance en moi pour aborder les prochaines filles…je repense parfois avec reconnaissance à ma belle pute belge qui m’a si bien déniaisé.

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