Couvre-feu brûlant

Couvre-feu brûlant

 

Je fais un métier difficile, mais merveilleux. Je suis pompier. Humainement, c’est vraiment génial, on sauve des vies, on rencontre plein de gens et tout le monde nous aime. On fait du sport, on s’entraîne, et du coup, on a un corps de rêve.

Et en plus, nous sommes le fantasme préféré des femmes ! Je ne sais pas si c’est l’uniforme, mais en tout cas, je peux dire que même quand l’uniforme est enlevé, le feu ne s’éteint pas dans les culottes !

Moi, Yann, j’ai 35 ans, je suis divorcé, et libre comme l’air. 1M80, musclé, brun, la peau mate, j’ai des origines eurasiennes qui me donnent beaucoup de charme, paraît-il. Et j’en profite !

J’aime toutes les femmes, je suis un chaud lapin, je n’en ai pas honte du tout. Et les femmes aiment plaire. Blondes, brunes, rousses, châtain, fines, grasses, musclées, elles ont toutes quelquechose de beau, et je sais qu’elles voudront me faire plaisir.

J’aime aussi quand une femme est entreprenante, quand elle sait ce qu’elle veut, quand elle vient me chercher par le caleçon sans hésiter.

Mais les temps sont durs, entre les différents confinements, les couvre-feu…dur dur de rencontrer quelqu’un avec les attestations, les restaurants et les bars fermés. Il reste internet, mais ensuite, il faut trouver un prétexte pour sortir et le mettre sur l’attestation.

Ce soir, je suis de service à la caserne, si j’ai un peu de temps libre, j’irai chasser sur internet des femmes esseulées par le confinement.

Voilà 10 minutes que je suis là, et l’alarme retentit, pour un incendie à une dizaine de kilomètres de la caserne. Je m’équipe et en route.

Encore un feu dans une cuisine, forcément, en ce moment, c’est le loisir préféré des gens. Nous intervenons et très vite, c’est fini, reste à ranger l’appartement.

Une femme arrive, la trentaine, et s’excuse pour le dérangement, elle dit qu’elle aurait dû faire attention. Je la réconforte, ce sont des choses qui arrivent.

Elle est si mignonne, dans son peignoir, est-ce qu’elle porte quelquechose dessous ? Elle est rousse, sa peau est laiteuse, elle est petite, ses hanches sont larges, et elle a l’air d’avoir de gros seins.

Je la prends par l’épaule pendant que mes collègues s’en vont en souriant, et je la rassure gentiment. Elle laisse sa tête sur mon épaule, et son peignoir s’écarte un peu, j’entrevois un de ses seins qui s’échappe, gros, rond, laiteux, si appétissant, et un bout de son aréole rose et large…ma queue devient toute dure, j’ai envie de mordre son sein.

Elle descend sa main sur ma taille, et je sens sa main sur mes fesses, je ne rêve pas ! Elle malaxe mon cul, et je l’embrasse à pleine bouche, je suis super excité et elle, chaude comme la braise.

Mes collègues m’attendent, je dois partir et je prends son  numéro de téléphone. Elle me dit de revenir après mon service.

La soirée est calme, je suis à la caserne et je pense à elle, je suis si excité, je rêve de la voir nue, et nous nous envoyons des sextos, elle m’allume à fond, cette salope. Elle vit seule,e t elle est en manque. Elle m’envoie des photos de ses cuisses, puis de ses épaules, de son décolleté, mais comme un puzzle. Je suis fou d’excitation.

Mon service fini, je coche la case : « aide aux personnes vulnérables » sur mon attestation de sortie.

Je file chez elle, elle m’ouvre en peignoir, je la serre contre moi, mes mains sur son cul bien ferme, je l’embrasse à pleine bouche, elle me déshabille, et enfin, j’ouvre son peignoir .

Elle est entièrement nue, ses gros seins fermes, ronds avec des aréoles larges comme j’aime, ses tétons gonflés, ses hanches larges, ses cuisses un peu épaisses, sa croupe rebondie, elle est super bandante.

Je la colle contre le mur, et je lui bouffe les seins, elle gémit, son téton dans ma bouche, son sein dans ma main, et je mets un doigt dans sa chatte trempée, elle se cambre, je bande comme un malade.

Je la prends contre le mur, elle jouit, je suis bien en elle, ma queue au chaud dans sa chatte serrée et humide, je fais des va-et-vient, et je me retire, elle se met à genoux devant moi, et me dit de lui donner ma lance à incendie.

Elle me suce la bite comme une vraie salope, puis je la retourne, et je déverse tout le contenu de ma lance à incendie dans son superbe cul de cochonne en rut.

Je suis un pompier qui adore le couvre-feu, surtout quand le feu est dans la chatte et le cul d’une aussi belle chienne en chaleur.

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