Le calendrier de l’avent ( partie 2 )

Le calendrier de l’avent ( partie 2 )

 

Finalement, peut-être que j’avais bien fait de tromper Mathilde avec cette prostituée, puisque grâce à cela, je devenais enfin le soumis de ma femme, ce que j’aurais dû être depuis bien longtemps déjà.

La situation me semblait toute naturelle, comme du déjà vécu. Là, j’étais à genoux, nu, au coin, et j’attendais fébrilement ma punition méritée.

Mathilde est revenue et m’a attaché au radiateur, avec une corde, les poignets, mais aussi les chevilles. Elle m’a dit qu’elle allait s’absenter.

Je lui ai demandé où elle allait et elle m’a répondu : «  de quoi je me mêle, ordure ? De quel droit me poses-tu des questions ? Tu vas rester là bien sage, en étant attaché, tu ne sauteras pas sur la première venue, au moins, espèce d’immonde trou de balle ! ».

Et moi, à genoux, nu , attaché, je bandais sous les insultes, qui me vexaient, mais qui surtout, m’excitaient au plus haut point ! Je devais vraiment être pitoyable à regarder, d’ailleurs Mathilde ne me regardait pas, elle s’en allait.

Je suis resté comme ça deux heures au moins, c’était très inconfortable et en plus, j’avais envie de branler ma queue, j’étais si remué et excité par tout ça, et je me demandais où était Mathilde et ce qu’elle faisait.

J’ai fini par frotter ma queue contre le radiateur, comme un chien en rut, mais sans réussir à éjaculer, tout au plus ai-je coulé un peu de jus.

Puis, la porte d’entrée a fini par s’ouvrir et j’ai vu entrer Mathilde, habillée d’une façon incroyablement sexy !

Elle portait une mini-jupe en cuir rouge, en haut des cuisses, frôlant son magnifique cul bombé moulé dans cette jupe stretch, un corset noir dévoilant le ventre, lacé très serré faisant pigeonner ses magnifiques seins généreux, et cachant tout juste ses tétons puisque je pouvais apercevoir un petit morceau ses ses larges aréoles sombres.

Maquillée outrageusement, mascara très noir, joues remplies de blush, lèvres maquillés au rouge vif, elle était perchée sur des talons aiguilles d’au moins 10 cm sur lesquels elle chaloupait en ondulant du cul.

Elle a tournoyé sur elle-même devant moi, en riant : «  alors, chéri, tu aimes ? Toi qui aime les putes, tu vas être servi, je t’ai réservé des surprises ».

Je lui ai dit qu’elle était magnifique et super bandante, mon sexe était tout dur. Elle lui a donné une tape, en me disant : «  non mais dis donc, sale cochon vicieux, range-moi ça tout de suite, ce n’est pas pour toi cette tenue, qu’est-ce que tu crois ? ».

Piqué au vif, je lui ai demandé pour qui elle s’était habillée de la sorte alors. Elle a rit en me disant « certainement pas pour toi, charogne ! Regarde, nous avons un invité ! ».

Mon collègue Matthias est alors entré, et a passé son bras autour de la taille de ma femme. Matthias, mon collègue qui m’avait avoué qu’il rêvait de coucher avec elle ! J’étais humilié et en même temps, très excité, une drôle de sensation.

Mathilde a ri et m’a dit : «  maintenant, c’est moi qui vais faire la pute avec Matthias, tu vas voir, chéri, tu vas aimer ça ! ».

Je protestais, mais Mathilde a commencé à embrasser Matthias à pleine bouche, lui roulant des pelles torrides. Puis elle s’est placée dos à lui, son beau cul contre son ventre et sa bite, et lui, il l’embrassait dans le cou, en délaçant son corsage.

Il pelotait ses gros seins nus devant moi, caressant ses aréoles ses tétons qui grossissaient et durcissaient, ma femme gémissait de désir. Il a descendu une main sur son ventre, puis sur sa cuisse, remontant sa mini-jupe.

Elle portait juste un string qu’il a écarté pour caresser son clito que je voyais gonfler. Elle mouillait très fort sur son doigt, et s’est retournée vers lui.

Je bandais comme un taureau. Lui aussi. Elle a sorti sa bite de son pantalon, une grosse et grande bite bien dure, et elle l’a branlé doucement pendant qu’il lui suçait un téton en mettant un doigt dans sa chatte trempée.

Elle s’est alors mise en levrette sur le canapé, jupe relevés, seins sortis du corset, a retiré son sting et lui a dit « vas-y Matthias, prends-moi comme une pute ! » , et lui, il l’a saisie par les hanches et l’a  pénétrée très profondément la faisant hurler de plaisir comme une vraie salope. Je ne l’avais jamais vue comme ça, déchaînée, une vraie chienne.

Ils ont joui en même temps, elle en hurlant de plaisir, et lui en poussant des cris et des gros râles.

Puis Mathilde s’est moquée de moi avec mon collègue «  alors, ça t’a plu, gros porc ?, ce n’est pas fini… ».

Je dois avouer que je m’en réjouis, car je n’ai jamais été aussi excité ! Je vous raconterai plus tard tout ce qu’elle m’aura fait subir, d’ici Noël, en attendant, je profite de mon bonheur !

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