Etrennes, Etrennes

Etrennes, Etrennes

Je m’appelle Ghislaine, j’ai 52 ans, je suis divorcée et j’exerce le métier de gardienne d’immeuble. Les gens de la résidence dont je m’occupe m’appellent Gigi. Ce sont des gens riches, très exigeants, qui ont choisi cette demeure haussmannienne pour son luxe et sa tranquillité.
Je me dois donc d’être irréprochable en tout, que ce soit pour l’entretien de l’immeuble, l’accueil, les services rendus, mais aussi pour ma présentation. Je soigne beaucoup mon apparence.

J’aime porter des tenues chic et ajustées, je suis bien en chair, et j’aime mettre en valeur mes formes, ma taille fine, mes hanches larges, mes seins volumineux, avec des jupes crayon au genou, moulant bien mes fesses charnues et rebondies, des chemisiers en soie décolletés, par exemple.
Mon maquillage est toujours très soigné, et ma coiffure aussi, mes cheveux noirs, sont coupés courts, bouclés, et mes yeux noirs maquillés légèrement, ma bouche pulpeuse aussi.

On me dit souvent froide et guindée, mais je suis naturellement ainsi, et ma fonction m’oblige à être vigilante, même si je dois paraître snob ou hautaine.
Je suis discrète sur ma vie privée, et les résidents de l’immeuble ignorent que chaque soir, je reçois des amants de passage, et souvent des soumis, des hommes mariés négligés par leurs femmes qui ne comprennent pas qu’il faut les dresser, les mater et en faire de bonnes petites esclaves reconnaissantes. Je reçois aussi des célibataires, des vieux garçons qui ont besoin d’être guidés, travestis, et avec qui il faut être très sévère.

Tout cela se passe dans la plus grande discrétion, et les hommes que je reçois sont très reconnaissants et me paient largement pour l’immense plaisir que je leur apporte. Ils trouvent même que ce n’est pas assez, et je suis d’accord, j’accepte les augmentations et les cadeaux mérités. Ils savent la chance qu’ils ont d’avoir une Maîtresse qui s’occupe aussi bien d’eux. La femme leur est supérieure et ils en sont conscients, et nous sommes tous satisfaits.

Nous sommes le 2 janvier, j’ai bien festoyé avec mes soumis fidèles dans une grande orgie dominatrice pendant que mes résidents festoyaient en famille ou entre amis. Ils sont venus dans ma loge me souhaiter une bonne année et m’ont offert mes étrennes, comme le veut la coutume. Mes résidents sont très généreux, ils se disent reconnaissants de mes services, et la plus maigre enveloppe s’élève à 150 euros. Ils ont vraiment de très bonnes manières.

Aujourd’hui, le nouveau, Monsieur Charles, un petit jeune cadre qui gagne bien sa vie, m’a souhaité la bonne année dans ma loge, avec une petite enveloppe, tout souriant. Je lui ai souri aussi, jusqu’à ce que je voie le montant de mes « étrennes » ! ce petit goujat avait osé me donner 20 euros ! En m’appellant « ma chère Gigi » !

Rouge de colère, je l’ai remis en place, ce gougnaffier ! « comment ça, Gigi ? Non mais tu te crois où, c’est Madame Ghislaine, et 20 euros, je suis au rabais pour toi ? Les étrennes, c’est mon treizième mois ! ».

Ce misérable a tenté de s’excuser, et s’est mis à genoux pour demander pardon. Je l’ai traité de loque, de lopette sans couilles, il était en colère mais j’ai vu son excitation, comme mes autres soumis, il avait cette lueur dans les yeux et cette bosse dans le pantalon.

Je l’ai jeté sur le lit sans hésiter, et lui ai ordonné de se déshabiller. La pauvre petite chose s’est éxécutée en disant « oui, Maîtresse ». Savourant mon pouvoir sur lui, je me suis mise nue, et j’ai frotté ma chatte contre sa figure, il a léché mon clito, et mon anus et m’a faite jouir. Au moins, comme sex-toy, il n’est pas inutile ! Alors, je me suis empalée sur sa bite, et mes seins nus balançant sur lui, complètement excité, j’ai pris mon plaisir et me suis retirée avant qu’il éjacule. Il bandait comme un porc, la queue bien dure et frustrée, il tremblait d’excitation.
Je l’ai retourné sur le lit et j’ai lubrifié son petit trou de balle. J’ai enfilé mon gros gode-ceinture, et je l’ai enculé bien profondément en le traitant de salope, de pute, de chienne en chaleur. Le misérable gémissait puis hurlait de plaisir. Je lui ai mis un baillon-boule pour qu’il ne fasse pas de bruit en gueulant comme une truie. Il a joui, et sa petite bite a même coulé des larmes de bonheur.

Je l’ai lâché, et me suis rhabillée, triomphante.
Vaincu et heureux, le petit Charles est remonté me chercher mes vraies étrennes. Et je suis sûre qu’elles sont augmenter très régulièrement maintenant, avec cette petite salope, maintenant que je vais bien l’éduquer…

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